Semaine du 17 septembre

J'ai eu une mauvaise nouvelle dans la semaine du 17 septembre en ce qui a trait à ma fracture du radius dans avant-bras gauche.

Le 18 septembre, j'avais un rendez-vous à l'Hôpital l'Enfant-Jésus en orthopédie. On m'a d'abord retiré le plâtre que je portais à mon avant bras gauche depuis le 15 août 2023. Par la suite, j'ai passé une radiographie de mon avant bras gauche.

Quelques minutes plus tard, j'ai rencontré l'orthopédiste qui me suit relativement à cette fracture. C'est lui qui m'a annoncé la mauvaise nouvelle en me montrant la radiographie prise et  celle qui avait été prise le 25 août 2023. Celle du 25 août 2023 montrait un bel alignement des os par rapport à celle qui venait d'être prise, ce qui était de mauvais signe. 

Normalement, avec un plâtre, les os auraient dû se coller et l'alignement aurait dû être amélioré ou à tout le moins, le même. L'orthopédiste m'a donc fait passer une tomodensitométrie afin de pouvoir vérifier si le processus physiologique de collement des os avait débuté.

Après avoir passé la tomodensitométrie, je suis retourné voir l'orthopédiste qui m'a montré les clichés de cet examen et où on pouvait voir qu'aucune colle d'os ne s'était formé à l'endroit de la facture. C'est un phénomène très rare car habituellement, avec un plâtre, la colle d'os se forme. Pourquoi le processus de collement des os ne s'est pas fait ? Il semblerait que c'est une question génétique et que j'aurais pigé le mauvais numéro.

Par conséquent, il était nécessaire que je subisse une intervention chirurgicale orthopédique afin qu'une petite plaque soit insérée et vissée à l'endroit de la fracture. Sans cette intervention chirurgicale, il y a un risque que mon poignet puisse lâcher un jour. L'orthopédiste m'a, par contre, expliqué les risques et inconvénients suite à cette opération ( infection de la plaie, autre opération si la petite plaque ne tient pas et période de trois à quatre mois, suite à l'opération où j'aurai de la difficulté à bouger mes doigts ).

Suite à ces explications, j'ai accepté l'opération et une date rapide a été fixée.

Naturellement, je suis très déçu de la situation car je m'attendais à ce que la fracture soit guérie suite au retrait du plâtre. Ce sera donc plus compliqué pour les prochains mois.

Maintenant, en ce qui a trait à mon entraînement durant la semaine du 17 septembre, j'ai couru 41.78 km, pédalé 20 km sur le vélo stationnaire et fait seulement une séance de musculation. Moins de vélo stationnaire et de musculation pour les jambes m'a fait du bien car j'étais fatigué musculairement depuis une semaine ou deux.

Voici maintenant le détail de ma semaine:

Dimanche 17 septembre: sortie avec le zoo: 12.65 km en 1:46:29 (8:25/km).

Lundi 18 septembre:  séance de vélo stationnaire au Econofitness Place de la Cité: 20 km en 48:17 (24.9 km/hre).

Par la suite, j'ai enchaîné avec une séance de musculation allégée, comme durant la semaine précédente, afin de pouvoir récupérer de cette fatigue musculaire au niveau des jambes.

Mardi 19 septembre: Pluie et vent.  Départ de la maison pour une sortie lente sur route: 7.08 km en 1:06:08 (9:21/km).

Mercredi 20 septembre: Départ du Quai des Vents pour une sortie  sur la Promenade Samuel-de-Champlain: 7.03 km en 1:04:24 (9.09/km).

J'ai commencé ma sortie au lever du jour:

Il y avait, un peu plus loin, sur un quai,  un groupe de méditation dirigée au lever du jour:

Jeudi 21 septembre: c'était la journée où je devais être opéré. Je n'ai donc fait aucun entraînement.

J'étais à jeun depuis minuit. Cependant, comme ce n'était pas une chirurgie élective, je n'avais pas de rendez-vous précis pour la chirurgie. Je devais attendre à la maison qu'on m'appelle.

Je n'ai jamais reçu d'appel en avant-midi. Ma belle-fille est venu me reconduire à l'Hôpital l'Enfant-Jésus vers 10 h 30. Je me suis alors rendu à la chirurgie d'un jour où l'on m'a dit d'attendre dans une salle et que l'on viendrait m'informer du moment où je serais opéré. Après trois heures d'attente, toujours à jeun, personne n'était venu me voir. Je suis alors retourné voir la dame qui m'avait dit d'attendre et elle m'a alors dit que j'étais toujours sur la liste des chirurgies du jour et que cela se ferait probablement en début de soirée.

J'ai donc appelé un ami qui est venu me chercher et me reconduire à mon véhicule que ma belle-fille avait laissé sur le stationnement de Massothérapie Le Mesnil où elle travaille. Je suis retourné chez moi pour attendre.

En début de soirée, je n'avais toujours pas reçu d'appel. Vers 19 h, j'ai téléphoné à la chirurgie d'un jour ou un infirmier m'a dit que je serais appelé dans la prochaine heure. Je n'ai jamais reçu d'appel.

Vers 21h, j'ai rappelé. J'ai parlé à une infirmière qui m'as dit qu'il y avait une dame avant moi et une urgence. Elle ne pouvait me donner l'heure à laquelle je serais opérée. Je lui ai alors expliqué que mon dernier repas remontais à 17 h la veille et que cela faisait 29 heures que je n'avais pas mangé un repas consistant. J'étais très fatigué et je lui ai dit que ce n'était pas raisonnable de subir une opération à une heure que j'ignorais toujours à jeun et dans cet état.

Elle m'a rappelé peu de temps après et elle m'a dit que l'opération serait reportée au lendemain. Je pouvais donc prendre un repas et commencer un autre jeûne à minuit en vue de cette opération reportée.

Personnellement, je trouve inacceptable d'être traité de cette façon dans le milieu hospitalier. Il a fallu que je parle pour pour que l'on puisse prendre une décision qui me paraissait évidente. Je comprends très bien qu'on a traité les chirurgies urgentes avant moi. J'étais listé urgent pas urgent et ma chirurgie venait en dernier. Par contre, on aurait dû m'aviser bien avant que je ne serais pas opéré ce jour-là afin que je puisse manger vu que mon jeûne avait commencé 21h avant.

Vendredi 22 septembre: je me suis levé à l'heure habituelle, entre 5 h et 5 h 30, afin de me préparer à recevoir l'appel de l'hôpital pour mon opération.

Vers 8h, j'ai reçu un appel d'une infirmière de la chirurgie d'un jour qui m'a alors informé qu'il y avait trop d'urgences et que mon opération n'aurait pas lieu cette journée-là. Je l'ai alors remercié de m'avoir avisé car je pourrais déjeuner et prendre mes repas normalement durant la journée. Elle m'a alors dit que je recevrais un appel une journée d'avance pour m'informer que je serais opéré le lendemain, ce qui me permettrait de commencer mon jeûne à minuit, la veille de mon opération.

J'ai donc fait une journée normale. Après avoir déjeuné, j'ai fait une sortie en sentiers à la Base de plein air de Sainte-Foy: 7.00 km en 1:00:36 (8:39/km).

C'était la dernière journée de l'été mais une journée magnifique:

L'organisation de la Candycourse 5 km, qui avait lieu le lendemain, était à l'oeuvre sur le site:

Samedi 23 septembre: comme je n'avais reçu aucun appel la veille pour mon opération, je n'ai pas fait de jeûne à partir de minuit. J'ai déjeuné et je suis parti pour la Station touristique Duchesnay afin de faire une sortie en sentier.

J'ai couru sur les sentiers Le Lac jaune, La Tourbière et Le Rocher: 8.01 km en 1:19:44

Ici, sur le sentier Le Lac jaune:

Sur le sentier La Tourbière:

Et sur le sentier Le Rocher:

Sur le chemin du retour, une infirmière du bloc opératoire m'a appelé. Elle voulait planifier ma chirurgie pour la journée même. C'est incroyable ! Aucune note n'avait été prise de ce qui avait été décidé la veille à 8 h 05. Quel manque de professionnalisme ! Je lui ai donc expliqué poliment ce qui avait été décidé et que je n'avais pas fait mon jeûne préopératoire vu que je ne m'attendais pas à être opéré, n'ayant reçu aucun appel. 

Au surplus, il y avait encore beaucoup d'urgences ce jour-là et elle ne pouvait pas me dire quand je serais opéré !!! Elle est donc allé consulter le chirurgien orthopédiste et elle m'a rappelé pour me dire que je serai opéré le lendemain et que mon nom serait souligné en jaune afin que je puisse avoir une priorité. Nous nous sommes donc mis d'accord pour que je commence mon jeûne à minuit le dimanche 24 septembre. De nouveau, elle m'a dit d'attendre l'appel à la maison. 

Vers 20h, j'ai reçu un appel d'une infirmière du bloc opératoire me disant de me présenter le lendemain à 7h à l'urgence de l'hôpital et que je serais le deuxième sur la liste.

Dimanche 24 septembre

Le dimanche 24 septembre, je me suis présenté à l'urgence de l'hôpital à 7h, tel que demandé.

J'ai dû attendre un peu dans la salle d'attente de l'urgence. J'ai été appelé entre 8 h 30 et 9 h pour me présenter dans une salle où j'ai été invité à me changer pour l'opération.

J'ai été monté en civière au bloc opératoire. J'ai d'abord rencontré la résidente en anesthésie. Ma décision était déjà prise pour une anesthésie locale de mon bras gauche uniquement. L'anasthésie s'est très bien déroulé.

Ce fût de même pour l'opération. Par contre, elle a été un peu plus longue que prévu vu le temps écoulé depuis ma fracture. 

De retour à la maison, il me reste maintenant à gérer la douleur et la guérison suite à cette chirurgie:

J'ai deux plaques de plâtre à l'intérieur de mon bandage. Je devrai être très prudent dans les premières 48 heures afin de garder mon attelle pour que mon bras gauche  reste à 90 degrés et pour m'assurer qu'il ne fasse aucun travail. Je dois revoir l'orthopédiste entre dix et quatorze jours après mon opération. Une radiographie sera faite et on évaluera alors la situation. Donc, à suivre...

Marathon de Berlin

Le dimanche 24 septembre était tenu le marathon de Berlin.

Eliud Kipchoge et a tenté de battre le record du monde qu'il avait établi à Berlin en 2022 (2:01:09). Il a de nouveau gagné la course mais avec un chrono de 2:02:42:

L'événement de la journée a plutôt été la course chez les femmes où l'Éthiopienne Tigst Assefa a pulvérisé le record du monde (2:14:04) en remportant la victoire avec un chrono de 2:11:53:

Deux coureurs de Québec que je connais prenaient part à ce marathon. Les deux sont dans la catégorie des 60 ans.

Le premier est Bruno Samson un ancien coureur du zoo:

Bruno a terminé son marathon en 3:51:27. Depuis quelques années, Bruno s'entraîne avec le club de course l'Université Laval.

Jacques Papillon, du même club, a aussi pris part mais cette course:

De son côté, il a terminé le marathon en 3:33.47.

Donc, un gros bravo à Bruno et à Jacques pour leurs performances respectives à ce marathon.

Sur ce,  bonne semaine à tous !!!