J'ai terminé ma saison de compétitions 2017 avec le marathon de Magog, dimanche le 29 octobre:
Il s'agissait de mon troisième marathon cette année et de mon 91ième à vie. Mais avant de vous parler de mon marathon, voici le détail de la semaine du 22 octobre qui en a été une très légère:
Dimanche 22 octobre: 20.07 avec le zoo en 2:09:33, soit un pace moyen de 6:27/km. Ce fut le dernier entraînement digne de ce nom avant le marathon.
Lundi 23 octobre: congé de tout ce qui est très rare dans mon cas.
Mardi 24 octobre: 10 C. Début du taper. Une sortie sur un parcours près de la maison. Les jambes étaient lourdes en partant sûrement parce que j'avais couru un assez bon pace pour moi le dimanche précédant. 5 km à un pace moyen de 7:41/km.
Mercredi 25 octobre: Température estivale avec 16 C. Je suis sorti, toujours près de la maison, en shorts avec un gilet mince. Les jambes étaient un peu mieux que la veille. 5 km à un pace moyen de 7:29/km.
Jeudi 26 octobre: 11 C et un peu de pluie. Sortie sur la piste cyclable Chauveau et dans le quartier Les Méandres. 5 km à un pace moyen de 7:47/km.
C'est cette journée la que j'ai commencé ma surcharge glucidique de trois jours toujours axée sur les pâtes. Pour la complémentation avec les barres énergétiques, je suis revenu aux barres Vector. Avant le marathon de Rimouski, j'ai trouvé que les barres Clif me travaillaient plus dans les intestins. Elles contiennent probablement plus de fibres que les Vector. Je digère très bien ces dernières et j'aime beaucoup leur goût chocolaté. Aussi bien se faire plaisir !
Vendredi 27 octobre: 8 C, 4 C ressenti, pluie et vent. Sortie dans les quartiers résidentiels près de la maison. Je suis parti tranquillement pour finir un peu plus rapidement mais sans forcer. 5 km à un pace moyen de 7:33/km.
Samedi 28 octobre: 2 C. Dernière petite sortie avant le marathon de Magog. Sur route et dans le sentier du Parc Chauveau pour un tour. 5 km à un pace moyen de 7:38/km.
Donc, ce fut une petite semaine de 45 km: 20 km à un bon pace et le reste relax. De plus, j'ai coupé la musculation totalement. Lors de mes deux autres marathons cette année, je coupais uniquement les exercices pour les jambes. Cependant, ce n'est pas suffisant car dans les douze derniers kilomètres de mes marathons cette année, les courbatures musculaires dans le haut du corps m'ont dérangé. De toute façon, un petit repos de musculation de temps en temps ne peut pas faire de tort.
Dimanche 29 octobre: journée du marathon
La décision de courir ce marathon s'est prise rapidement en octobre et lorsque j'ai parlé à mon ami Gilles Lamontagne, nous avons pris la décision de partir la journée même et de revenir immédiatement après la course. Comme Magog est à 2 heures 30 de Québec, la journée serait, en elle-même, un marathon.
Le départ de la course étant prévu pour 8 heures 40, j'avais préparé mes choses la veille en soirée et je me suis levé à 3 heures 45. Comme je devais d'abord aller chercher Paul Tessier à l'Ancienne-Lorette pour 4 heures 30, j'ai amené mon déjeuner que je mangerais un peu plus tard en conduisant. À 4 heures 45, Paul et moi étions devant la résidence de Gilles qui nous attendait pour notre départ.
Encore une fois, je n'ai pas vu passer le voyage qui s'est déroulé dans la bonne humeur. Je n'étais jamais allé à Magog. Nous sommes arrivé vers 7 heures 15 et nous avons d'abord fait un arrêt dans un Tim Hortons pour les toilettes et un café pour mon ami Paul.
Par la suite, le gps nous a amené près du petit Parc des Braves qui se trouve près de la rue Principale à Magog. Nous avons trouvé un stationnement en face d'une école près du Parc. Nous étions prêts à faire nos courses respectives, Paul et Gilles étant inscrits au 10 km:
Au Parc des Braves, une grande marquise était installée. Nous y avons retiré nos dossards. L'organisation est simple. On ne nous donne pas de t-shirts ou de gilets mais uniquement une tuque:
Il y avait une école à l'arrière et nous pouvions nous habiller pour la course. Une cela fait, nous avons laissé nos sacs dans ma voiture qui était près du quartier général et j'ai laissé ma clé à Gilles car ils termineraient leur course au moins trois heures avant mienne. Gilles et Paul m'ont accompagné à la ligne de départ. Eux partaient 15 minutes plus tard.
Le peloton du marathon comptait environ 200 coureurs. La température était de 12 C avec un ciel très couvert et peu de vent. Après le départ, le premier kilomètre était déjà en montant. Comme j'étais trop à l'avant, de nombreux coureurs m'ont dépassé. J'ai immédiatement commencé à gérer en passant le premier kilomètre à 6:37/km. J'étais préparé mentalement à faire cette course aux sensations et je m'attendais à avoir un chrono lent.
Voici le parcours du marathon:
En fait, c'est le demi-marathon que nous courons deux fois. Et voici, le profil tiré de ma page Garmin Connect:
C'est presque toujours up and down. Il y avait de longues et de courtes montées, ces dernières étant sèches et brutales comme des murs. Aucun moment de moment de repos sur ce marathon ! C'est une course casse-pattes.
Mes sensations ont été très ordinaires dans le premier demi, surtout que j'ai couru sous une pluie soutenue entre le 8ième et le 20ième. Mon pace moyen est rapidement monté à 6:48/km et à 6:54/km. Je ne faisais que gérer. Mais quel paysage ! Une nature magnifique comme je m'y attendais avec le mont Orford dans les nuages en pointe de mire. De nombreux kilomètres étaient aussi courus sur une belle piste cyclables, soit faite de poussière de pierres ou d'asphalte.
J'ai trouvé que le premier demi n'est pas passé rapidement. Je savais que je manquerais d'énergie si je gardais mon alimentation habituelle, soit un gel à chaque 8 kilomètres. Je n'avais rien à perdre et j'ai décidé de tester. À partir du 20ième kilomètre, ce fut un gel à chaque 4 kilomètres. L'énergie est revenue rapidement.
Au 22ième kilomètre, j'ai fait un arrêt d'une trentaine de secondes pour ajuster mon espadrille gauche car je l'avais lacée trop serrée et le dessous du pied gauche me faisait mal. Le tout est rentré dans l'ordre. J'étais parti pour la guerre.
Mes sensations furent très bonnes dans le deuxième demi avec ma nouvelle alimentations. J'avais beaucoup d'énergie et j'attaquais les côtes même s'il fallait énormément ralentir pour les franchir. Je ne marchais pas et je les grimpais. J'ai dépassé plusieurs coureurs.
J'ai terminé le marathon avec un chrono très lent de 4:56:28 à un pace moyen de 7:01/km selon le site Sport Chrono. Cependant, j'ai fini fort et ça, c'est important pour moi.
Voici la médaille que j'ai reçue à l'arrivée:
Oui, il n'était pas facile mais j'ai aimé mon expérience à ce marathon. J'y suis même prêt à le refaire.
Mais amis Gilles et Paul m'attendaient patiemment à l'arrivée. Gilles a terminé son 10 km en 1:06:31 et Paul en 1:06:34. Paul avait réussi à rejoindre à la fin mais Gilles ne lui a pas donné de chances et lui a donné le coup de grâce. Nous avions bien ri. L'esprit de compétition est toujours présent entre ces deux amis qui s'entraînent ensemble.
Côté organisation, je vous ai mentionné qu'elle était simple. Cependant, elle était extraordinaire. L'esprit du marathon habite les bénévoles, un peu comme aux États-Unis. Je l'ai vraiment apprécié, particulièrement aux ravitaillements. À quelques endroits, les adolescentes qui y travaillaient étaient hystériques. Elles n'avaient rien à envier à celles du Boston College qui crient au 20ième kilomètre du marathon de Boston. Dans le deuxième demi, j'ai reçu tout un boost d'énergie de ces jeunes filles. Chapeau !
Par contre, j'ai une petite critique. Les verres de plastique aux points d'eau, ce n'est pas facile de boire en courant avec ça. On voulait peut-être nous obliger à arrêter un peu pour se reposer...
Pour le reste, tout était correct. J'ai eu mon lait au chocolat après le marathon, un yogourt grec et une bonne petite soupe. Cependant, je ne suis pas resté longtemps sous la marquise car j'étais mouillé. Je suis rapidement entré dans l'école pour m'essuyer et mettre des vêtements secs. Il n'y avait pas d'endroits prévus pour prendre une douche.
Nous sommes reparti de Magog rapidement. Nous nous sommes arrêté à Sherbrooke pour prendre un bon repas dans un restaurant Scores. Le voyage de retour s'est aussi bien déroulé qu'à l'aller. Je peux vous dire que j'ai bien dormi la nuit suivante.
Maintenant, place au repos !
Jean-Yves au Marathon de Lucerne
Avant nos courses de Magog, notre ami Jean-Yves Sanfaçon avait déjà terminé son deuxième marathon de son périple suisse, soit celui de Lucerne:
Il a complété son marathon en 3:47:54 avec beaucoup de fierté, la bière suisse à la main:
Il était très satisfait surtout qu'il s'était payé des randonnées et des joggings en montagne dans les jours précédents. Il aurait sûrement aimé le marathon de Magog :)
Donc, bravo à toi mon ami ! Merci aussi pour les beaux partages que tu as fait sur Facebook. Ça donne le goût d'aller courir en Europe et c'est très motivant.
lundi 30 octobre 2017
dimanche 22 octobre 2017
Semaine du 15 octobre
Je viens de terminer mes deux semaines de préparation spécifique pour le marathon de Magog que je courrai dimanche le 29 octobre prochain.
Deux semaines de sorties en endurance dans des côtes afin de reproduire le travail que je ferai lors de ce marathon.
Côté musculation, je n'ai travaillé que le haut du corps depuis le marathon de Rimouski afin de laisser à mes jambes la capacité de bien absorber ce travail de côtes. Dans la semaine avant le marathon de Magog et dans la semaine suivante, je vais faire une coupure totale pour la musculation.
Voici donc le détail de ma semaine du 15 octobre:
Dimanche 15 octobre: une longue sortie de 30 km avec Camilien Boudreau. Nous avons fait le parcours Trait-Carré qui est bien pourvu en côtes. Aussi, un gros travail mental à cause de la pluie battante.
Lundi 16 octobre: congé de course et séance de musculation au World Gym pour les pectoraux, les épaules et les abdominaux.
Mardi 17 octobre: - 1 C. Première sortie de l'automne sous le point de congélation. Sortie dans Loretteville par la montée de la rue Verret et quelques montées entre la rue Louis IX et la rue Racine, dont celle de la petite rue Ernest-Renaud:
Je suis parti tranquillement avec les jambes lourdes mais le pace s'est amélioré tout au long de la sortie. 8 km à un pace moyen de 7:42/km.
Mercredi 18 octobre: 6 C. Sorties dans les rues de Loretteville avec de grandes montées et descentes d'un peu plus d'un kilomètre. Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:30/km.
Jeudi 19 octobre: 4 C. Sortie dans Wendake et Loretteville par la montée de la rue de la Falaise Verte. J'ai d'abord fait quelques rues en faux plat dans Wendake. Je suis passé par une rue où il y avait un petit magasin général qui existe depuis 1946:
Dire que je demeure dans le coin depuis 10 ans et que je ne l'avais jamais vu !On dirait qu'il sort d'une autre époque.
Par la suite, j'ai continué avec quelques rues en côtes dans Loretteville. Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:30/km.
Une fois à la maison, je me suis rendu au World Gym pour ma séance de musculation dos, biceps et triceps.
Vendredi 20 octobre: Sortie de côtes dans les rues de Loretteville. Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:31/km.
Samedi 21 octobre: 4 C. Très belle journée qui s'annonçait. Je suis sorti 30 minutes avant le lever du jour et c'était assez clair pour aller dans le Parc linéaire. J'ai fait les secteurs Chauveau nord, Kabir-Kouba et Parc Jean-Roger Durand jusqu'à l'entrée du secteur Château d'eau:
Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:57/km.
Pour cette dernière semaine de préparation spécifique en vue du marathon de Magog, j'ai de nouveau couru 70 km. De façon générale, j'ai eu de bonnes sensations tout au long de la semaine tout en continuant de visualiser le genre de parcours qui m'attend le 29 octobre.
Zoo du 22 octobre
Pour ma dernière longue sortie avant le marathon, l'objectif était de 20 km. Je suis arrivé au Centre Lucien-Borne quelques minutes avant 8:15 heures et je n'ai pas fait de réchauffement.
Nous étions 12 pour cet entraînement dont Claudine et Gilbert de retour de leur chalet au Saguenay ainsi que Gilles et Paul qui m'accompagneront à Magog la semaine prochaine.
Nous sommes parti en direction de l'Université Laval en passant, entre autres, par la petite piste cyclable du Parc Notre-Dame-de-Bellevue.
Sur le Campus de l'Université Laval, nous avons fait le traditionnel arrêt pour les toilettes au Pavillon Alphonse-Desjardins. Par la suite, 6 amis sont retourné vers le Centre Lucien-Borne car ils ne voulaient pas courir la boucle de 20 km. Je me suis retrouvé avec cinq amis dont Danielle et Magalie qui faisait un retour sur les longues sorties du dimanche:
Ici, mes cinq amis de ce petit groupe avec Dominique, Camilien et Pierre à l'avant:
J'ai roulé près de mon pace marathon pour presque toute cette sortie avec d'excellentes sensations. Au Centre Lucien-Borne, il me manquait un peu plus de 2 km pour compléter mes 20 km. J'ai fait un retour au calme avec Magalie en allant toucher le mur de la rue des Franciscains 2 fois. Au total, j'ai couru 20.07 km en 2:09:33, soit un pace moyen de 6:27/km. Je me sens donc prêt pour le marathon de Magog.
Scotiabank Toronto Waterfront Marathon
Cette même journée, notre ami Rénald Bouchard était à Toronto pour courir le Scotiabank Toronto Waterfront Marathon:
Rénald qui courait dans la catégorie 70-74 ans a terminé le marathon en 4:44:08, 5ième sur 19 dans sa catégorie ce qui est très bon. Bravo à toi mon ami !
Hommage à Ed Whitlock
Dans les jours qui ont précédé ce Scotiabank Toronto Waterfront Marathon, les organisateurs ont rendu hommage à Ed Whitlock qui a établi des records phénoménaux dans les catégories Vétéran IV et V dont les suivants sur marathon:
- Record du monde pour la catégorie 70-74 ans: 2:54:48;
- Record du monde pour la catégorie 75-79 ans: 3:04:54;
- Record du monde pour la catégorie 80-84 ans: 3:15:54;
- Record du monde pour la catégorie 85-89 ans: 3:56:38.
Ce dernier record a été établie en octobre 2016 alors qu'il était déjà affaibli par le cancer. Il est décédé en mars 2017.
Je vous partage ce magnifique vidéo qui est sorti cette semaine en son hommage:
Deux semaines de sorties en endurance dans des côtes afin de reproduire le travail que je ferai lors de ce marathon.
Côté musculation, je n'ai travaillé que le haut du corps depuis le marathon de Rimouski afin de laisser à mes jambes la capacité de bien absorber ce travail de côtes. Dans la semaine avant le marathon de Magog et dans la semaine suivante, je vais faire une coupure totale pour la musculation.
Voici donc le détail de ma semaine du 15 octobre:
Dimanche 15 octobre: une longue sortie de 30 km avec Camilien Boudreau. Nous avons fait le parcours Trait-Carré qui est bien pourvu en côtes. Aussi, un gros travail mental à cause de la pluie battante.
Lundi 16 octobre: congé de course et séance de musculation au World Gym pour les pectoraux, les épaules et les abdominaux.
Mardi 17 octobre: - 1 C. Première sortie de l'automne sous le point de congélation. Sortie dans Loretteville par la montée de la rue Verret et quelques montées entre la rue Louis IX et la rue Racine, dont celle de la petite rue Ernest-Renaud:
Je suis parti tranquillement avec les jambes lourdes mais le pace s'est amélioré tout au long de la sortie. 8 km à un pace moyen de 7:42/km.
Mercredi 18 octobre: 6 C. Sorties dans les rues de Loretteville avec de grandes montées et descentes d'un peu plus d'un kilomètre. Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:30/km.
Jeudi 19 octobre: 4 C. Sortie dans Wendake et Loretteville par la montée de la rue de la Falaise Verte. J'ai d'abord fait quelques rues en faux plat dans Wendake. Je suis passé par une rue où il y avait un petit magasin général qui existe depuis 1946:
Dire que je demeure dans le coin depuis 10 ans et que je ne l'avais jamais vu !On dirait qu'il sort d'une autre époque.
Par la suite, j'ai continué avec quelques rues en côtes dans Loretteville. Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:30/km.
Une fois à la maison, je me suis rendu au World Gym pour ma séance de musculation dos, biceps et triceps.
Vendredi 20 octobre: Sortie de côtes dans les rues de Loretteville. Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:31/km.
Samedi 21 octobre: 4 C. Très belle journée qui s'annonçait. Je suis sorti 30 minutes avant le lever du jour et c'était assez clair pour aller dans le Parc linéaire. J'ai fait les secteurs Chauveau nord, Kabir-Kouba et Parc Jean-Roger Durand jusqu'à l'entrée du secteur Château d'eau:
Bonnes sensations. 8 km à un pace moyen de 7:57/km.
Pour cette dernière semaine de préparation spécifique en vue du marathon de Magog, j'ai de nouveau couru 70 km. De façon générale, j'ai eu de bonnes sensations tout au long de la semaine tout en continuant de visualiser le genre de parcours qui m'attend le 29 octobre.
Zoo du 22 octobre
Pour ma dernière longue sortie avant le marathon, l'objectif était de 20 km. Je suis arrivé au Centre Lucien-Borne quelques minutes avant 8:15 heures et je n'ai pas fait de réchauffement.
Nous étions 12 pour cet entraînement dont Claudine et Gilbert de retour de leur chalet au Saguenay ainsi que Gilles et Paul qui m'accompagneront à Magog la semaine prochaine.
Nous sommes parti en direction de l'Université Laval en passant, entre autres, par la petite piste cyclable du Parc Notre-Dame-de-Bellevue.
Sur le Campus de l'Université Laval, nous avons fait le traditionnel arrêt pour les toilettes au Pavillon Alphonse-Desjardins. Par la suite, 6 amis sont retourné vers le Centre Lucien-Borne car ils ne voulaient pas courir la boucle de 20 km. Je me suis retrouvé avec cinq amis dont Danielle et Magalie qui faisait un retour sur les longues sorties du dimanche:
Ici, mes cinq amis de ce petit groupe avec Dominique, Camilien et Pierre à l'avant:
J'ai roulé près de mon pace marathon pour presque toute cette sortie avec d'excellentes sensations. Au Centre Lucien-Borne, il me manquait un peu plus de 2 km pour compléter mes 20 km. J'ai fait un retour au calme avec Magalie en allant toucher le mur de la rue des Franciscains 2 fois. Au total, j'ai couru 20.07 km en 2:09:33, soit un pace moyen de 6:27/km. Je me sens donc prêt pour le marathon de Magog.
Scotiabank Toronto Waterfront Marathon
Cette même journée, notre ami Rénald Bouchard était à Toronto pour courir le Scotiabank Toronto Waterfront Marathon:
Rénald qui courait dans la catégorie 70-74 ans a terminé le marathon en 4:44:08, 5ième sur 19 dans sa catégorie ce qui est très bon. Bravo à toi mon ami !
Hommage à Ed Whitlock
Dans les jours qui ont précédé ce Scotiabank Toronto Waterfront Marathon, les organisateurs ont rendu hommage à Ed Whitlock qui a établi des records phénoménaux dans les catégories Vétéran IV et V dont les suivants sur marathon:
- Record du monde pour la catégorie 70-74 ans: 2:54:48;
- Record du monde pour la catégorie 75-79 ans: 3:04:54;
- Record du monde pour la catégorie 80-84 ans: 3:15:54;
- Record du monde pour la catégorie 85-89 ans: 3:56:38.
Ce dernier record a été établie en octobre 2016 alors qu'il était déjà affaibli par le cancer. Il est décédé en mars 2017.
Je vous partage ce magnifique vidéo qui est sorti cette semaine en son hommage:
dimanche 15 octobre 2017
Semaine du 8 octobre
Je viens de terminer une première semaine d'entraînement spécifique au marathon de Magog que je courrai le 29 octobre.
Comme c'est un marathon avec beaucoup de côtes et qu'il semble faire peur à plusieurs pour sa difficulté, j'ai décidé de me préparer en conséquence. Je sais que mes jambes sont fortes après mon entraînement estival dans le Parc linéaire et mes séances de musculation. Cependant, comme c'est dans la tête que ça se joue principalement, je suis allé courir toute la semaine sur des parcours de côtes. Il n'y a rien de plus facile côté logistique pour moi car j'ai les rues de Loretteville près de chez moi, ces rues étant ascendantes vers le nord. De plus, au début de la semaine, j'ai fait un entraînement bien spécial qui s'est décidé à la dernière minute et qui va me servir pour le marathon de Magog.
Voici donc le détail de ma semaine du 8 octobre:
Dimanche 8 octobre: une semaine après le marathon de Rimouski, 20 km avec 3 amis du zoo sous la pluie à un pace moyen de 6:51/km. J'ai eu de bonnes sensations, ce qui est bon signe pour ma préparation en vue du marathon de Magog.
Lundi 9 octobre: c'était jour férié pour la fête de l'Action de Grâce. La veille, en début de soirée, nous sommes parti en famille pour Stoneham, plus précisément au complexe Condos Hôtel Stoneham au pied de la montagne de ski, question de décrocher 24 heures, de profiter des belles couleurs de l'automne et d'aller au Nordique Spa & Détente.
Vers 7:30 heures, j'ai débuté ma journée par une sortie. J'ai d'abord cherché le sentier la Boucle de la station, mais je me suis retrouvé au pied d'une piste de ski:
J'avais mon cellulaire et j'ai cherché sur internet le plan des pistes de ski de la station. Il s'agissait de la piste La Randonnée, soit la plus facile de la station. Cependant, je savais que j'aurais un bel entraînement en la montant et la descendant.
J'ai donc commencé en joggant à une moyenne autour de 10:00/km. Je travaillais très fort. J'ai d'abord atteint un premier endroit avec un joli point de vue sur les montagnes environnantes:
Un peu plus loin, j'ai enregistré une première portion de 1.3 km sur ma Garmin afin de désactiver l'auto pause à 12:00/km et continuer en mode trail soit marche et course.Je suis arrivé jusqu'au bout de cette piste La Randonnée. La carte des pistes de ski que j'avais vue sur internet s'y retrouvait:
Je suis donc revenu sur mes pas et j'ai redescendu la piste La Randonnée. Au total, j'ai couru un peu plus de 6 km, la première portion de 1.3 km à un pace moyen de 10:44/km et la deuxième de 4.83 km à un pace moyen de 9:26/km, le tout sous une belle température de 13 C. J'ai bien géré l'entraînement et cela me donne l'envie d'essayer une course de trail un jour.
Vers 10:00 heures, nous avons quitté l'hôtel:
pour nous rendre au Nordique Spa & Détente à 13 km plus loin près de Twekesbury:
Sur trois paliers, nous retrouvons des bains extérieurs d'eau chaude à 36 C, d'eau tiède à 21 C, des bains saunas, de vapeur et de vapeur à l'eucalyptus. C'est un très bel endroit entouré par la nature et ses belles couleurs d'automne. Il est ouvert à l'année.
En bas, nous avons accès à la rivière Jacques-Cartier. Après deux bains d'eau chaude, nous sommes descendu et j'ai essayé un bain d'eau glacé dans la rivière:
Je dois dire que je m'y suis pris à deux fois avant de m'immerger complètement dans la rivière. L'eau était glaciale. Un peu plus tard, j'y suis retourné après un bain de vapeur. Ce fut un peu plus facile d'y entrer. Le contraste chaud-froid fait un bien immense sur la circulation sanguine. Je suis sorti complètement relaxé de ce passage au Nordique Spa & Détente.
Mardi 10 octobre: j'ai commencé par la musculation, le temps que ma Garmin se recharge. Elle s'était déchargée la veille durant le voyage. Comme elle était dans ma valise, le bouton start a du être accroché lorsque j'ai mis la valise dans l'auto. Donc, pour la musculation, séance pour les pectoraux, les épaules et les abdominaux.
De retour à la maison, j'ai pris ma Garmin pour une sortie route et sentiers avec de la côte. En sentiers, j'ai fait de courtes incursions dans le secteur Chauveau nord:
La température était de 11 C. Les jambes étaient lourdes de mon entraînement en montagne de la veille et j'ai pris un rythme relax. 9 km à un pace moyen de 8:03/km.
Mercredi 11 octobre: 3 C. Sortie à Loretteville sur un parcours de côtes. Les jambes étaient encore marquées de l'entraînement de lundi. 9 km à un pace moyen de 8:00/km.
Jeudi 12 octobre: 1C. Parcours de côtes dans Loretteville. Les jambes et les sensations étaient meilleures. 9 km à un pace moyen de 7:36/km.
Après ma sortie de course, je me suis rendu au World Gym pour une séance de musculation dos, biceps et triceps.
Vendredi 13 octobre: 2 C. Parcours de côtes dans les rues de Loretteville près de la maison. 9 km à un pace moyen de 7:36/km.
Samedi 14 octobre: 11 C. Parc linéaire, secteurs Chauveau nord et sud, un de mes parcours d'été que je n'avais pas fait depuis quelques semaines. Les couleurs étaient magnifiques avec plusieurs passages de tapis de feuilles, dont un juste au bout de la rue où j'habite:
J'ai fait un aller-retour dans le Parc linéaire pour un total de 8 km à un pace moyen de 8:01/km.
Donc au total, j'ai couru 70 km durant cette semaine du 8 octobre. J'ai monté beaucoup de côtes en endurance sans trop forcer un peu comme je veux le faire durant le marathon de Magog tout en visualisant le type de marathon que je vais faire. On peut parler d'entraînement de maintien et de préparation psychologique en même temps. Le tout sera une question de contrôle des sensations durant cette course.
Zoo du 15 octobre
J'avais une dernière longue sortie de 30 km à faire avant le marathon de Magog en ce dimanche 15 octobre.
La température était mauvaise avec beaucoup de pluie et un bon vent de l'est. Il n'y avait personne du zoo à 7:15 heures, trois amis étant à Saint-Damien pour une course de 10 km, d'autres ayant fait leur longue sortie la veille et certains ayant complété leur saison de compétitions, ces derniers ayant bien fait de prendre un dimanche de congé vu les mauvaises conditions climatiques.
J'ai donc fait mon réchauffement sur le parcours habituel Plaines d'Abraham-Vieux Québec. Au Jardin Jeanne d'Arc, j'en ai profité pour aller jeter un coup d'oeil aux belles décorations d'Halloween que la Commission des champs de bataille nationaux installent à chaque année:
Un peu avant 8:15 heures au Centre Lucien-Borne, il n'y avait toujours pas d'amis du zoo à l'horizon. Je me préparais donc à faire ma longue sortie seul quand Camilien Boudreau est arrivé. Il n'y aurait donc que deux animaux dans le zoo pour cette longue sortie:
Je voulais faire de la côte. J'avais d'abord pensé à descendre le long du Boulevard Champlain pour remonter une des côtes de Sillery. Cependant, le vent de l'est et la pluie abondante nous auraient encore plus détrempés au retour. Je me suis alors replié sur le parcours du Trait-Carré, dans l'axe sud-nord, nord-sud. Pour Camilien, il n'y avait pas de problème. Avec ce parcours, j'étais certain d'être bien servi pour les côtes:
Nous avons donc pris le départ de ce parcours en descendant la côte Sherbrooke. Au Centre Vidéotron, nous avons fait un petit arrêt pour admirer la Place Jean Béliveau et la magnifique sculpture qui a été installée récemment et qui devrait être la sculpture favorite du zoo:
Pour cet entraînement, Camilien, en bon lièvre du zoo, courait plus rapidement à l'avant et venait me chercher régulièrement à l'arrière. Côté sensations, je suis toujours resté dans une zone confortable et en contrôle dans les montées et les descentes.
Vers la fin de la sortie, près du Palais de justice, j'ai raccompagné mon ami à son domicile sur la rue Saint-Vallier. Il avait les mains gelées et il avait hâte de terminer. Il me restait 1.8 km que j'ai fait seul pour compléter ma sortie de 30 km. Elle a été faite en 3:39:41 à un pace moyen de 7:19/km.
Jean-Yves au marathon de Locarno
Notre ami Jean-Yves Sanfaçon, quant à lui, prenait part au marathon de Locarno en Suisse dimanche le 15 septembre:
Locarno se trouve dans le sud de la Suisse près de la frontière italienne. Je suis allé voir les images de ce marathon et l'endroit semble magnifique avec les belles montagnes environnantes.
Jean-Yves a complété son marathon en 3:41:19:
C'est son meilleur temps sur marathon cette année. Bravo ! D'ailleurs, Jean-Yves a une très bonne année 2017 de course. Il n'en manquait pas beaucoup pour le standard du marathon de Boston.
Trois amis du zoo au 10 km
La même journée, Gilles Lamontagne, Paul Tessier et Roger Goulet participaient au Défi Bellechasse, une course de 10 km à Saint-Damien-de-Buckland sur un parcours avec des côtes.
Gilles a terminé en 1:08:35, Roger en 1:10:44 et Paul en 1:11:24. Bravo à mes amis Vétéran IV qui sont toujours très inspirants pour moi.
J'avais une dernière longue sortie de 30 km à faire avant le marathon de Magog en ce dimanche 15 octobre.
La température était mauvaise avec beaucoup de pluie et un bon vent de l'est. Il n'y avait personne du zoo à 7:15 heures, trois amis étant à Saint-Damien pour une course de 10 km, d'autres ayant fait leur longue sortie la veille et certains ayant complété leur saison de compétitions, ces derniers ayant bien fait de prendre un dimanche de congé vu les mauvaises conditions climatiques.
J'ai donc fait mon réchauffement sur le parcours habituel Plaines d'Abraham-Vieux Québec. Au Jardin Jeanne d'Arc, j'en ai profité pour aller jeter un coup d'oeil aux belles décorations d'Halloween que la Commission des champs de bataille nationaux installent à chaque année:
Un peu avant 8:15 heures au Centre Lucien-Borne, il n'y avait toujours pas d'amis du zoo à l'horizon. Je me préparais donc à faire ma longue sortie seul quand Camilien Boudreau est arrivé. Il n'y aurait donc que deux animaux dans le zoo pour cette longue sortie:
Je voulais faire de la côte. J'avais d'abord pensé à descendre le long du Boulevard Champlain pour remonter une des côtes de Sillery. Cependant, le vent de l'est et la pluie abondante nous auraient encore plus détrempés au retour. Je me suis alors replié sur le parcours du Trait-Carré, dans l'axe sud-nord, nord-sud. Pour Camilien, il n'y avait pas de problème. Avec ce parcours, j'étais certain d'être bien servi pour les côtes:
Nous avons donc pris le départ de ce parcours en descendant la côte Sherbrooke. Au Centre Vidéotron, nous avons fait un petit arrêt pour admirer la Place Jean Béliveau et la magnifique sculpture qui a été installée récemment et qui devrait être la sculpture favorite du zoo:
Pour cet entraînement, Camilien, en bon lièvre du zoo, courait plus rapidement à l'avant et venait me chercher régulièrement à l'arrière. Côté sensations, je suis toujours resté dans une zone confortable et en contrôle dans les montées et les descentes.
Vers la fin de la sortie, près du Palais de justice, j'ai raccompagné mon ami à son domicile sur la rue Saint-Vallier. Il avait les mains gelées et il avait hâte de terminer. Il me restait 1.8 km que j'ai fait seul pour compléter ma sortie de 30 km. Elle a été faite en 3:39:41 à un pace moyen de 7:19/km.
Jean-Yves au marathon de Locarno
Notre ami Jean-Yves Sanfaçon, quant à lui, prenait part au marathon de Locarno en Suisse dimanche le 15 septembre:
Locarno se trouve dans le sud de la Suisse près de la frontière italienne. Je suis allé voir les images de ce marathon et l'endroit semble magnifique avec les belles montagnes environnantes.
Jean-Yves a complété son marathon en 3:41:19:
C'est son meilleur temps sur marathon cette année. Bravo ! D'ailleurs, Jean-Yves a une très bonne année 2017 de course. Il n'en manquait pas beaucoup pour le standard du marathon de Boston.
Trois amis du zoo au 10 km
La même journée, Gilles Lamontagne, Paul Tessier et Roger Goulet participaient au Défi Bellechasse, une course de 10 km à Saint-Damien-de-Buckland sur un parcours avec des côtes.
Gilles a terminé en 1:08:35, Roger en 1:10:44 et Paul en 1:11:24. Bravo à mes amis Vétéran IV qui sont toujours très inspirants pour moi.
dimanche 8 octobre 2017
Semaine post Rimouski
Une semaine après le marathon de Rimouski, je peux dire que j'ai bien digéré l'expérience:
En 90 marathons à vie, c'est la première fois que j'affrontais un vent aussi fort. La nature m'a carrément remis à ma place et j'ai du composer avec elle. Finalement, je considère que je l'ai assez bien fait. Le chrono ne voulait plus rien dire et il s'agissait alors de vivre une expérience de course pénible. J'ai du rester humble et accepter de courir très lentement. Je suis passé au travers et j'en suis très heureux.
Ma saison de marathons n'est pas encore terminée. Au début de la semaine, mon ami Gilles Lamontagne a accepté de m'accompagner à Magog le 29 octobre prochain:
Depuis l'année dernière que je veux faire ce marathon et c'est le temps de le faire. Gilles courra le 10 km et moi le 42.2 km. C'est le marathon le plus difficile au Québec:
Il faudra faire ce parcours de côtes 2 fois, car les marathoniens courent le demi-marathon deux fois. Chose certaine, je devrai encore une fois pratiquer l'humilité car il ne sera pas question de chrono ici. Je vais essayer de profiter de l'expérience et des belles couleurs de l'automne.
Durant la semaine du 1er octobre, ma récupération s'est très bien déroulé. Je n'ai pas ressenti de courbatures importantes comme dans mes marathons habituels. Peut-être que le pace très lent du deuxième demi-marathon à Rimouski y a été pour quelque chose. Aussi, j'ai intégré du vélo stationnaire à mon entraînement durant la première partie de la semaine afin d'accélérer la récupération musculaire. Voici donc le détail de ma semaine du 2 octobre:
Dimanche 1er octobre: marathon de Rimouski décrit ici .
Lundi 2 octobre: 30 minutes de moulinage léger sur un vélo stationnaire au World Gym (13 km). J'avais mis le gilet du marathon de Rimouski. Cela a parti une conversation, pendant mes étirements, avec un gars qui était allé à Rimouski avec sa famille pour voir le marathon et faire courir ses enfants.
Mardi 3 octobre: 30 minutes de vélo stationnaire (13 km) au World Gym et séance de musculation pour les pectoraux, les épaules et les abdominaux. J'ai commencé un nouveau programme d'exercices axé sur les appareils.
Mercredi 4 octobre: 30 minutes de vélo stationnaire (13 km) au World Gym.
Jeudi 5 octobre: 10 C. Reprise de la course après 3 jours d'arrêt. Départ du World Gym pour une sortie dans les quartiers résidentiels adjacents et retour par le Boulevard l'Ormière. Bonnes sensations. 6 km à un pace moyen de 7:14/km.
Par la suite, j'ai enchaîné avec une séance de musculation pour le dos, les biceps et les triceps.
Vendredi 6 octobre: 9 C. Boucle passant par le Boulevard Johnny-Parent, le quartier Les Méandres nord et la piste cyclable Chauveau. J'étais fatigué et les jambes étaient raides. Le pace a été plus lent. 6 km à un pace moyen de 7:53/km.
Samedi 7 octobre: 7 C. Départ du Boulevard St-Jacques à l'entrée du Parc de l'Escarpement pour une sortie relax en sentier avec les belles couleurs automnales même si elles sont moins prononcées cette année avec l'été qui s'est prolongé en septembre:
J'ai de nouveau couru 6 km, cette fois-ci à un pace moyen de 7:50/km.
Donc, j'ai couru 60 km au total dans cette semaine du 1er octobre incluant mon marathon. La transition sera donc facile à faire pour compléter deux semaines de maintien à 70 km avant le marathon de Magog.
Zoo du 8 octobre
Je suis arrivé un peu avant 8:15 heures au Centre Lucien-Borne, le temps de faire un petit réchauffement de 1.2 km en allant toucher le mur au bout de la rue des Franciscains.
Il n'y avait que trois amis présents, soit Rénald Bouchard, Pierre Plante et Camilien Boudreau. Rénald avait déjà couru 10 km car il était parti du Domaine Maizerets. Il nous a proposé d'aller le reconduire à son véhicule au Domaine Maizerets, ce qui allait de soi vu le petit groupe que nous formions.
Étant plus rapides, Pierre et Camilien ont couru à l'avant et j'ai couru à l'arrière avec Rénald. Ce fut bien agréable jusqu'au Domaine Maizerets avec un pace confortable.
Après avoir laissé Rénald et avant de revenir vers le Centre Lucien-Borne, nous avons fait un arrêt au chalet du Domaine Maizerets pour les toilettes. La pluie qui était annoncée pour l'avant-midi tombait maintenant de façon assez intense:
Le retour fut moins agréable sous la grosse pluie battante. Pierre et Camilien étaient toujours à l'avant mais revenaient régulièrement vers moi pour ne pas prendre trop de distance. À un certain moment, sur la piste cyclable de la rivière St-Charles, ils sont revenus avec Paul Tessier qui s'entraînait seul. Après une courte jasette, Paul a continué seul dans l'autre direction.
À la rue Marie-de-l'Incarnation, nous avons pris la direction du Centre Lucien-Borne mais en montant la côte de la Pente Douce au lieu de la côte Sherbrooke car il nous manquait quelques kilomètres pour compléter la distance de 20 km. Camilien nous a laissé au Boulevard Charest et j'ai terminé avec Pierre.
Au total, j'ai couru 20.01 km en 2:16:57, soit un pace moyen 6:51/km. J'ai été confortable pour tout l'entraînement, ce qui est bon augure pour mon objectif du 29 octobre prochain.
Le Grand Raid de l'Ile de la Réunion
En décembre 2012, je vous avais parlé ici du Grand Raid de l'Ile de la Réunion en vous présentant un vidéo de l'édition 2012.
Cet ultra-trail, un des plus difficiles au monde, consiste en la traversée de l'Ile avec un dénivelé positif de plus de 9 000 mètres. En 2016, la distance était de 164 km avec 9 917 mètres de D+. C'est François D'Haene, vainqueur de l'UTMB 2017 qui avait remporté la victoire.
Cette année le Grand Raid se déroulera du 19 au 22 octobre prochain. Je suis tombé sur un excellent reportage qui nous montre quelle est la motivation des coureurs à participer à cette épreuve. C'est une vue très sensible de l'intérieur qui nous aide à comprendre le phénomène et on ne parle pas seulement des coureurs élites qui couvrent la distance en 22 heures mais aussi de ceux qui mettent 66 heures. Au surplus, les images sont superbes. C'est à voir:
En 90 marathons à vie, c'est la première fois que j'affrontais un vent aussi fort. La nature m'a carrément remis à ma place et j'ai du composer avec elle. Finalement, je considère que je l'ai assez bien fait. Le chrono ne voulait plus rien dire et il s'agissait alors de vivre une expérience de course pénible. J'ai du rester humble et accepter de courir très lentement. Je suis passé au travers et j'en suis très heureux.
Ma saison de marathons n'est pas encore terminée. Au début de la semaine, mon ami Gilles Lamontagne a accepté de m'accompagner à Magog le 29 octobre prochain:
Depuis l'année dernière que je veux faire ce marathon et c'est le temps de le faire. Gilles courra le 10 km et moi le 42.2 km. C'est le marathon le plus difficile au Québec:
Il faudra faire ce parcours de côtes 2 fois, car les marathoniens courent le demi-marathon deux fois. Chose certaine, je devrai encore une fois pratiquer l'humilité car il ne sera pas question de chrono ici. Je vais essayer de profiter de l'expérience et des belles couleurs de l'automne.
Durant la semaine du 1er octobre, ma récupération s'est très bien déroulé. Je n'ai pas ressenti de courbatures importantes comme dans mes marathons habituels. Peut-être que le pace très lent du deuxième demi-marathon à Rimouski y a été pour quelque chose. Aussi, j'ai intégré du vélo stationnaire à mon entraînement durant la première partie de la semaine afin d'accélérer la récupération musculaire. Voici donc le détail de ma semaine du 2 octobre:
Dimanche 1er octobre: marathon de Rimouski décrit ici .
Lundi 2 octobre: 30 minutes de moulinage léger sur un vélo stationnaire au World Gym (13 km). J'avais mis le gilet du marathon de Rimouski. Cela a parti une conversation, pendant mes étirements, avec un gars qui était allé à Rimouski avec sa famille pour voir le marathon et faire courir ses enfants.
Mardi 3 octobre: 30 minutes de vélo stationnaire (13 km) au World Gym et séance de musculation pour les pectoraux, les épaules et les abdominaux. J'ai commencé un nouveau programme d'exercices axé sur les appareils.
Mercredi 4 octobre: 30 minutes de vélo stationnaire (13 km) au World Gym.
Jeudi 5 octobre: 10 C. Reprise de la course après 3 jours d'arrêt. Départ du World Gym pour une sortie dans les quartiers résidentiels adjacents et retour par le Boulevard l'Ormière. Bonnes sensations. 6 km à un pace moyen de 7:14/km.
Par la suite, j'ai enchaîné avec une séance de musculation pour le dos, les biceps et les triceps.
Vendredi 6 octobre: 9 C. Boucle passant par le Boulevard Johnny-Parent, le quartier Les Méandres nord et la piste cyclable Chauveau. J'étais fatigué et les jambes étaient raides. Le pace a été plus lent. 6 km à un pace moyen de 7:53/km.
Samedi 7 octobre: 7 C. Départ du Boulevard St-Jacques à l'entrée du Parc de l'Escarpement pour une sortie relax en sentier avec les belles couleurs automnales même si elles sont moins prononcées cette année avec l'été qui s'est prolongé en septembre:
J'ai de nouveau couru 6 km, cette fois-ci à un pace moyen de 7:50/km.
Donc, j'ai couru 60 km au total dans cette semaine du 1er octobre incluant mon marathon. La transition sera donc facile à faire pour compléter deux semaines de maintien à 70 km avant le marathon de Magog.
Zoo du 8 octobre
Je suis arrivé un peu avant 8:15 heures au Centre Lucien-Borne, le temps de faire un petit réchauffement de 1.2 km en allant toucher le mur au bout de la rue des Franciscains.
Il n'y avait que trois amis présents, soit Rénald Bouchard, Pierre Plante et Camilien Boudreau. Rénald avait déjà couru 10 km car il était parti du Domaine Maizerets. Il nous a proposé d'aller le reconduire à son véhicule au Domaine Maizerets, ce qui allait de soi vu le petit groupe que nous formions.
Étant plus rapides, Pierre et Camilien ont couru à l'avant et j'ai couru à l'arrière avec Rénald. Ce fut bien agréable jusqu'au Domaine Maizerets avec un pace confortable.
Après avoir laissé Rénald et avant de revenir vers le Centre Lucien-Borne, nous avons fait un arrêt au chalet du Domaine Maizerets pour les toilettes. La pluie qui était annoncée pour l'avant-midi tombait maintenant de façon assez intense:
Le retour fut moins agréable sous la grosse pluie battante. Pierre et Camilien étaient toujours à l'avant mais revenaient régulièrement vers moi pour ne pas prendre trop de distance. À un certain moment, sur la piste cyclable de la rivière St-Charles, ils sont revenus avec Paul Tessier qui s'entraînait seul. Après une courte jasette, Paul a continué seul dans l'autre direction.
À la rue Marie-de-l'Incarnation, nous avons pris la direction du Centre Lucien-Borne mais en montant la côte de la Pente Douce au lieu de la côte Sherbrooke car il nous manquait quelques kilomètres pour compléter la distance de 20 km. Camilien nous a laissé au Boulevard Charest et j'ai terminé avec Pierre.
Au total, j'ai couru 20.01 km en 2:16:57, soit un pace moyen 6:51/km. J'ai été confortable pour tout l'entraînement, ce qui est bon augure pour mon objectif du 29 octobre prochain.
Le Grand Raid de l'Ile de la Réunion
En décembre 2012, je vous avais parlé ici du Grand Raid de l'Ile de la Réunion en vous présentant un vidéo de l'édition 2012.
Cet ultra-trail, un des plus difficiles au monde, consiste en la traversée de l'Ile avec un dénivelé positif de plus de 9 000 mètres. En 2016, la distance était de 164 km avec 9 917 mètres de D+. C'est François D'Haene, vainqueur de l'UTMB 2017 qui avait remporté la victoire.
Cette année le Grand Raid se déroulera du 19 au 22 octobre prochain. Je suis tombé sur un excellent reportage qui nous montre quelle est la motivation des coureurs à participer à cette épreuve. C'est une vue très sensible de l'intérieur qui nous aide à comprendre le phénomène et on ne parle pas seulement des coureurs élites qui couvrent la distance en 22 heures mais aussi de ceux qui mettent 66 heures. Au surplus, les images sont superbes. C'est à voir:
lundi 2 octobre 2017
Marathon de Rimouski 2017: courir contre les gros vents
Durant la semaine du 24 septembre, j'ai mis la touche finale à ma préparation pour le Marathon de Rimouski 2017:
Je n'ai couru que 41 km afin de rester le plus frais possible pour mon marathon. Voici le détail:
Dimanche 24 septembre: 16.3 km avec le zoo dans le cadre du traditionnel BBQ ( 5 X 1km rapide-1km lent);
Lundi 25 septembre: congé de course et séance de musculation pour les pectoraux, les épaules et les abdominaux.
Mardi 26 septembre: 21 C et très humide à 5:30 heures AM. Sortie dans les quartiers résidentiels près de la maison. Je suis parti très lentement avec les jambes pesantes dans le premier kilomètre mais j'ai augmenté le rythme par après. 5 km à un pace moyen de 7:22/km.
Mercredi 27 septembre: 15 C, beaucoup plus frais que la veille. Boucle passant par la piste cyclable Chauveau et la montée du Boulevard St-Jacques. Les jambes étaient moins lourdes que pour la sortie précédente. 5 km à un pace moyen de 7:09/km.
Jeudi 28 septembre: 12 C. Départ du World Gym pour une sortie relax passant le parc industriel Armand Viau et le Boulevard l'Ormière. 5 km à un pace moyen de 7:26/km.
Par après, je suis entré au World Gym pour une séance de musculation dos, biceps et triceps. J'ai terminé un autre programme de six semaines.
C'est durant cette journée que j'ai commencé ma diète de surcharge glucidique pour le marathon. Pendant 3 jours, j'axe mon alimentation sur les pâtes et les barres énergétiques. Cette fois-ci, j'ai remplacé les barres Vector par les barres Clif:
D'ailleurs, la semaine précédente, j'avais réussi à dénicher, au Provigo Le Marché, une boîte de 12 barres comme celle illustrée plus haut pour seulement 14$, ce qui est une aubaine quand on pense que chaque barre est vendue au détail presque 2 $.
Vendredi 29 septembre: 4 C. J'ai mis, pour la première fois cet automne, un polartech, des collants et des gants. Sortie relax dans les quartiers résidentiels près de la maison avec une courte portion sur la piste cyclable Chauveau. 5 km à un pace moyen de 7:31/km.
Je n'ai couru que 41 km afin de rester le plus frais possible pour mon marathon. Voici le détail:
Dimanche 24 septembre: 16.3 km avec le zoo dans le cadre du traditionnel BBQ ( 5 X 1km rapide-1km lent);
Lundi 25 septembre: congé de course et séance de musculation pour les pectoraux, les épaules et les abdominaux.
Mardi 26 septembre: 21 C et très humide à 5:30 heures AM. Sortie dans les quartiers résidentiels près de la maison. Je suis parti très lentement avec les jambes pesantes dans le premier kilomètre mais j'ai augmenté le rythme par après. 5 km à un pace moyen de 7:22/km.
Mercredi 27 septembre: 15 C, beaucoup plus frais que la veille. Boucle passant par la piste cyclable Chauveau et la montée du Boulevard St-Jacques. Les jambes étaient moins lourdes que pour la sortie précédente. 5 km à un pace moyen de 7:09/km.
Jeudi 28 septembre: 12 C. Départ du World Gym pour une sortie relax passant le parc industriel Armand Viau et le Boulevard l'Ormière. 5 km à un pace moyen de 7:26/km.
Par après, je suis entré au World Gym pour une séance de musculation dos, biceps et triceps. J'ai terminé un autre programme de six semaines.
C'est durant cette journée que j'ai commencé ma diète de surcharge glucidique pour le marathon. Pendant 3 jours, j'axe mon alimentation sur les pâtes et les barres énergétiques. Cette fois-ci, j'ai remplacé les barres Vector par les barres Clif:
D'ailleurs, la semaine précédente, j'avais réussi à dénicher, au Provigo Le Marché, une boîte de 12 barres comme celle illustrée plus haut pour seulement 14$, ce qui est une aubaine quand on pense que chaque barre est vendue au détail presque 2 $.
Vendredi 29 septembre: 4 C. J'ai mis, pour la première fois cet automne, un polartech, des collants et des gants. Sortie relax dans les quartiers résidentiels près de la maison avec une courte portion sur la piste cyclable Chauveau. 5 km à un pace moyen de 7:31/km.
Samedi 29 septembre: 7 C. Dernière sortie relax avant le marathon de Rimouski. Je l'ai faite sur route près de la maison avec un tour de sentier dans le Parc Chauveau. 5 km à un pace moyen de 7:27/km.
En cette journée du 29 septembre, j''ai fait le voyage pour Rimouski avec trois amis du zoo: Bruno, Camilien et Jean-Yves. Bruno avait réservé en mars dernier une chambre à l'Hôtel des Gouverneurs à environ 800 mètres des lignes de départ et d'arrivée du marathon. Nous avons utilisé mon véhicule et je suis allé chercher les amis peu après l'heure du dîner afin de prendre le départ pour Rimouski aux environs de 13:30 heures dans le but d'arriver à Rimouski vers la fin de l'après-midi.
Nous sommes immédiatement allé récupérer nos dossards et nos gilets dès notre arrivée à Rimouski:
Je n'avais pas couru le marathon de Rimouski depuis 2011 et je n'avais jamais vu ce grand chapiteau car j'étais toujours allé chercher mon dossard à l'Institut maritime lors de mes deux participations à ce marathon.
Tout y est regroupé. Nous avons d'abord fait la file pour retirer nos dossards et nos gilets:
Il y avait plus de 4 500 inscrits aux différentes épreuves ( 1 km, 5 km, 10 km, 21.1 km et 42.2 km) mais le travail des bénévoles était très efficace de sorte que nous n'avons pas attendu longtemps.
Par la suite, nous sommes allé brièvement à l'hôtel pour le check in avant de retourner au grand chapiteau pour faire de nouveau la file du repas de pâtes qui devait être acheté au prix de 12 $:
Danielle Goulet et Dominique Jobin s'étaient joints à nous pour ce repas, une bonne lasagne préparée par un service de traiteur.
Dimanche 26 septembre, journée du marathon
Le départ du marathon était donné à 8:30 heures. L'hôtel étant très près, nous avons pu sortir 20 minutes avant le départ. Merci Bruno pour ta réservation hâtive !
Voici le tracé du marathon de Rimouski:
Nous partons du Centre-Ville de Rimouski et devons d'abord courir 21.1 km en direction est jusqu'à Sainte-Luce-sur-Mer avant de revenir sur nos pas. Le parcours est plat et rapide avec quelques légers faux plats.
La température était idéale au départ pour courir un marathon avec 9 C, ressenti de 4 C. Cependant, nous étions inquiets car il y avait un vent d'ouest autour de 40 km/heure avec des rafales pouvant aller jusqu'à 55-60 km/heure. Rien d'idéal pour le marathon, bien au contraire !
Comme nous avions le vent de dos pour partir, nous sommes tous couru le premier demi-marathon à un bon rythme. De mon côté, j'essayais de me contrôler pour ne pas aller plus rapidement que mon pace marathon visé ( 6:00/km). J'ai passé le demi-marathon avec mon ami Rénald Bouchard en 2:08:56 pour un temps final un peu inférieur à 4 heures 18. Cependant, je savais que je ne ferais jamais ce chrono. La question était de savoir combien de temps je perdrais dans le deuxième demi-marathon avec cet important vent de face.
Je l'ai vu rapidement. Du 21ième au 24ième, j'ai essayé de travailler vent de face avec une coureuse qui était à ma vitesse en assumant chacun notre relais régulièrement. Au 24ième km, je l'ai laissé aller car elle était légèrement trop rapide. Un peu plus loin, j'ai vu qu'elle était arrêtée et je ne l'ai jamais revue après. J'avais aussi déjà perdu mon ami Rénald qui n'a pas suivi.
J'ai donc continué seul avec des coureurs qui étaient distancés à l'avant. Mes jambes étaient déjà lourdes car le travail était important avec ce gros vent de face. J'ai donc décidé d'y aller aux sensations et de m'organiser pour courir jusqu'à la fin sans marcher en gérant du mieux possible.
Mon pace moyen affiché à ma Garmin, dans ce deuxième demi-marathon, n'a pas cessé d'augmenter. Après avoir franchi le premier demi-marathon à une allure autour de 6:00/km, j'ai couru à une allure moyenne de 6:46/km. pour les 10.9 km suivants et à 8:41/km pour les 10.2 derniers km. Voici le graphique Garmin de mon allure sur ce marathon:
Le vent était tellement fort, qu'à certains moments, j'avais l'impression de faire du sur-place. Au 40ième km, j'ai même eu du sable dans les yeux. C'était mon 90ième marathon à vie et je ne me souviens pas d'avoir lutté contre un vent si fort.
Naturellement, j'ai oublié de faire un chrono sur ce marathon et cela dès le 26ième. L'idée a été de le terminer sans dommages. Malgré cela, j'ai travaillé très fort.
J'ai terminé le marathon en 4:51:23 à une allure moyenne de 6:54/km, un de mes pires chronos à vie. Mais cela importait peu car j'avais la satisfaction d'avoir terminé cette course dans ces conditions.
À l'arrivée, je n'ai pas eu droit à la bouteille d'eau, au lait au chocolat et à la banane qu'on avait remis aux marathoniens plus rapides. J'ai su que la course de 1 km s'était conclue autour de 12:45 heures et que les enfants auraient tout pris. C'est le seul point négatif que j'ai à signaler car à part cela, l'organisation a été excellente toute la fin de semaine.
Comme mon ami Bruno avait repoussé le check-out de midi à 13:30 heures pour avoir la possibilité de prendre une douche à la chambre, je suis retourné à l'hôtel en joggant afin d'arriver à l'heure car j'ai terminé le marathon à 13:21 heures. Pas de temps à perdre !
Après la course, nous sommes retourné au grand chapiteau pour le repas d'après-course qui, lui, était fourni avec l'inscription. Une bonne assiette de poulet chasseur:
Avant de faire prendre la traditionnelle photo devant le fleuve Saint-Laurent qui, à Rimouski, est à perte de vue:
Les résultats du zoo
Le meilleur du zoo a naturellement été notre ami Camilien Boudreau qui était fier de sa performance:
Camilien visait 3 heures et il a terminé en 3:16:57 ce qui est excellent dans ces mauvaises conditions.
Dans l'ordre ont suivi:
- Pierre Plante: 3:50:53;
- Jean-Yves Sanfaçon: 3:57:45;
- Bruno Samson: 4:02:31;
- Claude Létourneau: 4:12:37;
- Luc Dufresne: 4:41:33;
- Rénald Bouchard: 5:14:52;
- Roger Goulet: 5:34:51;
Bravo à tous ! La médaille, vous l'avez gagnée chèrement.
Demi-marathon de Granby
Pendant la même journée se tenait le demi-marathon de Granby:
Nos amis Gilles Lamontagne et Paul Tessier y ont pris part. Gille a terminé la course en 2:20:15 et Paul en 2:38:57. Bravo à mes deux amis !